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Voir le produitZOOM – Pratiquer un drainage est une technique fort ancienne, sous forme de cures de nettoyage et de stimulation. Il est important de penser à effectuer régulièrement des périodes de drainage plusieurs fois par an, principalement aux changements de saison. Ce drainage pourra être correcteur et de soutien, régulateur et de maintien, ou bien « agressif » en forçant une fonction. Tous les organes sont concernés et il s’agit d’une véritable action de santé publique effectuée grâce aux plantes.
Nombre de praticiens de santé ont constaté que la cause de beaucoup de problèmes de santé résidaient dans l’accumulation de substances étrangères dans l’organisme, appelées plus couramment les toxines.
Ces substances présentes en trop grande quantité peuvent généralement entraîner une réaction et créer ces problématiques de santé.
Le terme drainage doit être compris au sens d’assainissement : à l’image de l’eau, il s’agit d’un écoulement libératoire qui permet à l’organisme d’éliminer les toxines qu’il contient. Les effets du drainage pourront être directs ou indirects mais, dans tous les cas, le drainage sera à l’origine d’une purification de l’organisme.
L’organisme accumule 3 types de toxines :
Le corps humain possède des organes qui ont pour fonction d’éliminer les toxines qu’il absorbe. Ces organes sont : le foie, les reins, la peau, les poumons, les intestins. On appelle ces organes les émonctoires.
Le foie est une véritable station d’épuration : il transforme les déchets organiques pour les amener à une forme sous laquelle ils pourront être éliminés. Les déchets protéiques sont transformés en urée alors que le foie éliminera l’excès de cholestérol avec les pigments biliaires en le déversant dans l’intestin.
Sous l’action d’enzymes, le foie élimine les toxiques : métaux lourds, substances chimiques, médicamenteuses, alcool… Là encore, si les fonctions hépatiques sont surchargées (le foie est engorgé, encrassé), la voie est ouverte à l’intoxication.
Le rein joue essentiellement le rôle de filtre du sang. Il évacue les déchets par les voies urinaires. Par contre, s’il est surchargé, ces déchets restent dans le sang et empoisonnent toutes les cellules – provoquant ainsi de graves désordres biologiques.
Elle aussi joue un rôle important : grâce à la sueur, cet organe – le plus grand du corps - élimine beaucoup de déchets. On dit d’ailleurs que la peau est le miroir de la santé. Par exemple, le pelage d’un animal reflète son état de santé.
Les poumons rejettent principalement le gaz carbonique : les bronches permettent ainsi l’évacuation des déchets colloïdaux infectés lors des infections bronchiques et pulmonaires.
En plus de ses fonctions digestives, l’intestin assure l’évacuation de nombreux corps toxiques en accélérant son transit, par exemple lors de diarrhées consécutives à des intoxications, des surcharges ou des déséquilibres alimentaires. Il assure également l’évacuation des déchets biliaires fournis par le foie.
En résumé, la pratique du drainage est fort ancienne sous forme de cures de nettoyage et de stimulation. Il est important à titre préventif de penser à effectuer régulièrement des périodes de drainage plusieurs fois par an, notamment aux changements de saison.
Évidemment, la solution naturelle peut être un choix judicieux lorsqu’un drainage se révèle nécessaire. De nombreuses plantes permettent de favoriser un bon drainage.
Le baccharis est une plante aromatique amère, originaire d'Amazonie, qui se reconnaît aisément grâce à sa fine tige ailée. Traditionnellement utilisé pour favoriser l’élimination des toxines et graisses excédentaires, il fait l'objet d'une utilisation très ancienne par les peuples indigènes d'Amazonie.
Le kinkéliba est un arbuste que l'on retrouve dans la savane africaine et qui pousse communément sur les sols pierreux et secs. Il est employé depuis très longtemps en Afrique.
Ses feuilles, utilisées dans les gélules de compléments alimentaires par exemple, permettent de stimuler les fonctions hépato-biliaires et rénales. Il facilite ainsi les fonctions d'élimination de l'organisme.
Ensuite, citons le romarin (Rosmarinus officinalis) : cette plante, qui fleure bon le Sud et le soleil, est un petit arbre originaire du bassin méditerranéen qui pousse à l’état sauvage dans les maquis et les garrigues calcaires du sud de la France.
Le romarin a toujours été reconnu comme un fortifiant : on brûlait des rameaux pour purifier l’air ou on le respirait pour se soulager.
Riche de nombreuses substances actives dont notamment les flavonoïdes, il agit notamment sur les problèmes digestifs, améliore les fonctions du foie et contribue au drainage hépatobiliaire.
Autre plante favorisant le drainage et aide les fonctions d'élimination de l'organisme : le pissenlit.
Cette plante se trouve aux quatre coins du monde, jusqu’à 2000 mètres d’altitude. En Europe, cette fleur peut être cueillie de mars à octobre. Qu'on le consomme frais, cru, cuit, en salade, les apports du pissenlit sont déjà connus des cuisiniers.
En effet, le pissenlit contient de la taraxine, de la choline, du carotène et du tanin. Ses feuilles pour leur part possèdent des vitamines A, B, C, et du manganèse.
L’une des plantes les plus connues pour le drainage reste le Desmodium adscendens. Cette plante herbacée rampante ou grimpante sur les troncs d’arbre, qui se trouve en Afrique équatoriale et en Amérique latine, est principalement utilisée par les tradipraticiens lors de dysfonctionnements hépatiques.
De nombreuses études ont pu confirmer son intérêt, si bien qu’elle fut introduite en France par des médecins ayant travaillé en Afrique.
Ses parties aériennes sont riches en flavonoïdes et alcaloïdes : celles-ci favorisent le bon fonctionnement du foie en le protégeant contre les agressions toxiques.
Le Desmodium protège et régénère les cellules hépatiques grâce à son action drainante.
Le Chardon Marie, également connu sous le nom d'artichaut sauvage, est une plante bisannuelle originaire du bassin méditerranéen où elle pousse en sols secs, ensoleillés et chauds et fleurit de juin à août.
Son nom tient d’une légende moyenâgeuse : la vierge Marie, voulant cacher son enfant Jésus aux soldats d'Hérode, le dissimula sous les larges feuilles d'un chardon. Dans sa hâte, quelques gouttes de lait tombèrent de son sein sur les feuilles de chardon, qui en ont gardé une trace héréditaire près de leurs nervures.
Les fruits, appelés akènes, sont riches en flavonoïdes dont la silymarine (composée de silybine, silydianine et silychristine), stérols et huiles. Ils sont utilisés dès l'Antiquité.
Connu pour son effet sur la fonction hépatique, le Chardon Marie protège le foie (on le reconnaît hépatoprotecteur) et aide à sa régénération.